Art’pentons Nos Rues !

Art’pentons Nos Rues, c’est une lien symbolique et artistique entre deux quartiers Fécampois, le quartier du Ramponneau et le quartier du centre-ville identifiés par les deux écoles élémentaires de proximité : l’école Albert Camus et l’école du Port.

Deux classes de ces écoles ont participé à la création de ce chemin, en créant des pixel art* à partir des photographies d’éléments ponctuant le chemin qu’ils ont prises lors d’une balade photographique sur ce trajet.

Les réponses : https://mjcfecamp.org/2024/06/18/reponses-artpentons-nos-rues/

Les jeux à faire tout au long du chemin sont disponibles en bas de l’article.

Au bout de chaque chemins, des mots et des pensées !

Les enfants et familles de l’association Fécamp Plus et la Maison de Quartier du Ramponneau se sont réunis avec l’association Cordage pour mener un atelier d’écriture parlant de leurs quartiers, et des lieux appréciés dans la ville de Fécamp, un résultat poétique et rêveur naissant de discussion mêlant souvenirs et émotions.

Ce chemin, sera un jeu de piste, suivez les adhésifs collés au sol entre les deux écoles, et essayez d’observer autour de vous, pour retrouver les petits, parfois tout petits détails, qu’on choisi les enfants pour créer leurs Pixel Art !

*Des points, des carrés, des couleurs…en papier de récupération !

Le pixel art c’est quoi ?

Art qui naît dans les années 80 lorsque l’informatique s’est démocratisé auprès des particuliers. Les écrans sont composés de milliers de pixels, de petits carrés plus ou moins grands qui forment une image. Inspiré de ce fait, cette pratique vise à exagérer la taille de ses carrés, pixels, afin de composer une image à but artistique. Ce mouvement s’inspire donc des jeux vidéos, dans l’optique de créer volontairement une œuvre abstraite « à la manière des écrans des années 80 ». Cette pratique créée en effet une perte des détails, le but étant de prendre du recul par rapport à l’image, pour pouvoir identifier ce qu’elle représente à l’origine.

Les enfants ont ainsi utilisé leurs photographies comme modèle, et les ont reproduites sur papiers à l’aide de centaine de carrés découpés dans des journaux et magazine récupérés auprès des familles.

Exemple :